Vidéos sous la présentation du projet.
« Mon Psy à Moi » (Vidéos ci-dessous)
GENRE : Comédie
Humour et décadence dans le milieu de la psychanalyse sur fond d’actualité…
PITCH : Dans un cabinet de psy, des personnages récurrents incarnés par des acteurs, mais aussi de vrais Guests comme des politiques, des animateurs ou des sportifs partagent un moment de vie privé avec un faux psychiatre déjanté.
LES PILOTES :
Je tiens à préciser que pour les pilotes, nous avons travaillé essentiellement à partir d’improvisations sur des thèmes donnés sans moyens techniques. Ils nous ont servi de base de travail pour trouver le concept final de cette série que nous souhaitons réaliser.
CONCEPT
Dans chaque épisode le psy reçoit un ou deux patients qui parlent de leurs problèmes, désirs ou frustrations. Pendant la séance, le psy partage ses angoisses ou donne des conseils tous aussi déjantés les uns que les autres. Parfois le psy n’écoute pas, s’ennuie, boit, s’agite en arrière plan pendant que le patient ou la personnalité se raconte en toute intimité. Quand il s’agit d’une personnalité connue le psy s’amusera aussi à le piéger par des questions incongrues qui permettront au spectateur d’apprécier la personne sous un regard différent loin des questions habituelles des journalistes.
Le patient est en premier plan allongé sur un canapé rouge. En arrière plan le psy est assis sur sa chaise. Les regards se croisent rarement ce qui permet au psy de vaquer aussi à ses occupations absurdes. Possibilité de faire revenir des personnages récurrents : sa famille, les habitants de l’immeuble, ses amis, le plombier, le facteur et des personnages qui enrichissent le quotidien du psy et fidélisent le spectateur comme dans Caméra Café ou autres séries du genre.
INDICATION DE MISE EN SCÈNE
- Plan fixe débullé (décadré) durant toute la séance, utilisation possible d’un grand angle pour une meilleur profondeur de champ et pour apprécier toutes les situations de jeux du psy en arrière plan.
- En Premier plan : le patient.
- En arrière plan : le psy.
- L’espace de l’arrière plan permet au psy de déambuler à sa guise entre le bureau, la fenêtre et sa bibliothèque.
- Dans le principe de la direction d’acteur, le jeu reste sobre et intimiste en fonction des pathologies déclinés qu’elles soient réelles ou imaginaires, en ce qui concerne les vrais acteurs.
- Tout doit être tourné en plan séquence et découpé au montage sous forme d’ellipse pour garder le meilleur des séances. Ces ellipses permettent de faire monter en crescendo les émotions des personnages ou personnalités pour appuyer le côté absurde et décalé de la série.
- Le psy pourrait rappeler par son humour, le personnage de l’inspecteur Cluzot joué par Peter Sellers dans la panthère rose.
- Dans l’écriture, nous pourront approfondir les personnages ou leurs problèmes qui en filigrane soulèveront quelques sujets de société tout en gardant toujours une petite part d’improvisation, pour garder de la fraicheur, pour ne pas rentrer dans un systématisme d’écriture et pour se laisser surprendre par la spontanéité et le talent de chacun. Cela permet aussi aux acteurs d’incarner les personnages avec plus de justesse et de liberté.
Le décor :
-Le cabinet est décoré dans un style freudien pour les accessoires, dominante des tons rouge et vert. pour les meubles de type années 50, canapé rouge, avec en contraste (photo) quelques objets modernes comme une chaine hifi, un Smartphone, etc…
La construction des épisodes :
Nous avons la possibilité de décliner deux formules en fonction du meilleur que nous pourrons tirer de chaque intervenant :
-Sur un épisode de 3mn : une séance d’1mn50 à 2mn avec un personnage incarné par un acteur et sur la 2ème séance, un politique ou autre personnalité pendant les 2mn restantes.
- Si la qualité des séances nous le permet suivant la réactivité des personnalités connues, nous ferons un épisode entier de 3mn.
GENRE : Comédie
Humour et décadence dans le milieu de la psychanalyse sur fond d’actualité…
PITCH : Dans un cabinet de psy, des personnages récurrents incarnés par des acteurs, mais aussi de vrais Guests comme des politiques, des animateurs ou des sportifs partagent un moment de vie privé avec un faux psychiatre déjanté.
LES PILOTES :
Je tiens à préciser que pour les pilotes, nous avons travaillé essentiellement à partir d’improvisations sur des thèmes donnés sans moyens techniques. Ils nous ont servi de base de travail pour trouver le concept final de cette série que nous souhaitons réaliser.
CONCEPT
Dans chaque épisode le psy reçoit un ou deux patients qui parlent de leurs problèmes, désirs ou frustrations. Pendant la séance, le psy partage ses angoisses ou donne des conseils tous aussi déjantés les uns que les autres. Parfois le psy n’écoute pas, s’ennuie, boit, s’agite en arrière plan pendant que le patient ou la personnalité se raconte en toute intimité. Quand il s’agit d’une personnalité connue le psy s’amusera aussi à le piéger par des questions incongrues qui permettront au spectateur d’apprécier la personne sous un regard différent loin des questions habituelles des journalistes.
Le patient est en premier plan allongé sur un canapé rouge. En arrière plan le psy est assis sur sa chaise. Les regards se croisent rarement ce qui permet au psy de vaquer aussi à ses occupations absurdes. Possibilité de faire revenir des personnages récurrents : sa famille, les habitants de l’immeuble, ses amis, le plombier, le facteur et des personnages qui enrichissent le quotidien du psy et fidélisent le spectateur comme dans Caméra Café ou autres séries du genre.
INDICATION DE MISE EN SCÈNE
- Plan fixe débullé (décadré) durant toute la séance, utilisation possible d’un grand angle pour une meilleur profondeur de champ et pour apprécier toutes les situations de jeux du psy en arrière plan.
- En Premier plan : le patient.
- En arrière plan : le psy.
- L’espace de l’arrière plan permet au psy de déambuler à sa guise entre le bureau, la fenêtre et sa bibliothèque.
- Dans le principe de la direction d’acteur, le jeu reste sobre et intimiste en fonction des pathologies déclinés qu’elles soient réelles ou imaginaires, en ce qui concerne les vrais acteurs.
- Tout doit être tourné en plan séquence et découpé au montage sous forme d’ellipse pour garder le meilleur des séances. Ces ellipses permettent de faire monter en crescendo les émotions des personnages ou personnalités pour appuyer le côté absurde et décalé de la série.
- Le psy pourrait rappeler par son humour, le personnage de l’inspecteur Cluzot joué par Peter Sellers dans la panthère rose.
- Dans l’écriture, nous pourront approfondir les personnages ou leurs problèmes qui en filigrane soulèveront quelques sujets de société tout en gardant toujours une petite part d’improvisation, pour garder de la fraicheur, pour ne pas rentrer dans un systématisme d’écriture et pour se laisser surprendre par la spontanéité et le talent de chacun. Cela permet aussi aux acteurs d’incarner les personnages avec plus de justesse et de liberté.
Le décor :
-Le cabinet est décoré dans un style freudien pour les accessoires, dominante des tons rouge et vert. pour les meubles de type années 50, canapé rouge, avec en contraste (photo) quelques objets modernes comme une chaine hifi, un Smartphone, etc…
La construction des épisodes :
Nous avons la possibilité de décliner deux formules en fonction du meilleur que nous pourrons tirer de chaque intervenant :
-Sur un épisode de 3mn : une séance d’1mn50 à 2mn avec un personnage incarné par un acteur et sur la 2ème séance, un politique ou autre personnalité pendant les 2mn restantes.
- Si la qualité des séances nous le permet suivant la réactivité des personnalités connues, nous ferons un épisode entier de 3mn.
Maquettes-réalisation basées sur des improvisations avec les acteurs. 10 épisodes
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